Petite Céüse depuis les Guérins

« Dis, ce week-end, on est chez tes parents… Tu veux pas qu’on leur laisse le petit pendant qu’on va faire la petite Céüse ? » Voilà en substance comment a commencé l’organisation de la sortie, première « grosse » rando depuis la naissance de Junior (les âmes chagrines argueront que 300 m de déniv ce n’est pas gros, ce à quoi je répondrai que zut ! À peine 2 mois après l’événement, c’est déjà une bonne reprise).
Au moment de partir, la réussite de l’entreprise est incertaine. C’est noir de partout autour, on entend le tonnerre au loin (boum !). Mais, comme il ne pleut pas et qu’il n’y a pas d’orages, on y va ; faut juste être prêt à redescendre en quatrième vitesse si ça tourne au vinaigre. Finalement, plus on monte, plus le temps s’améliore. On finira même au sommet avec du soleil.
Ça se recouvrira pendant la descente, mais sans jamais tourner à la pluie ni à l’orage.