Le Refuge

Le blog Montagnisme

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Pour la partie principale du site, j’utilise le thème « ZeeDynamic », que je trouve très bien à un détail près : il n’affiche pas, sur la page d’accueil, le nombre de commentaires validés des posts. Une petite faiblesse qui peut être réparée avec le bout de code suivant, à inclure dans
inc/template-tags.php
(dans les fichiers du thème) :

        $post_id = get_the_ID(); // On récupère l’ID du post
	$nbComments = wp_count_comments($post_id)->approved; // on compte le nombre de commentaires approuvés.
// Display comments number
	if ($nbComments > 0) {
		if ($nbComments == 1) {
			$postmeta .= '- <a href="https://www.montagnisme.fr/?p='. $post_id .'#comments">'. $nbComments .' commentaire</a> -   ';
		} else {
		$postmeta .= '- <a href="https://www.montagnisme.fr/?p='. $post_id .'#comments">'. $nbComments .' commentaires</a> -   ';
		}
	} else {
		$postmeta .= '- <a href="https://www.montagnisme.fr/?p='. $post_id .'#comments">Laisser un commentaire</a> - ';
	}


	if ( $postmeta ) {

		echo '<div class="entry-meta">' . $postmeta . '</div>';

	}
Ce code pourrait certainement être amélioré, mais il fait le taf. Pensez évidemment à remplacer l’URL de mon site par une qui soit valide pour le votre.

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Lorsque j’ai commencé à être indépendant (après le lycée), j’étais installé à proximité de ma fac et n’avais pas de voiture. Je me déplaçais donc essentiellement à pied, et prenais le bus puis le train en fin de semaine pour rentrer chez mes parents. Une forme de mobilité douce ni choisie, ni subite, mais qui me convenait bien.

Puis je me suis installé chez celle qui allait devenir mon épouse. Plus loin de la fac, et cette fois avec une voiture. Je faisais donc les trajets domicile-fac en voiture, sans réfléchir. Il a fallu attendre 6 mois à ce régime-là avant que je ne prenne pour la première fois le vélo sur les 9 kilomètres me séparant de la fac, et ce ne fut pas volontaire : un souci de pot d’échappement avait immobilisé mon véhicule. La panne fut temporaire, mais le vélo m’est resté. J’ai continué à aller à la fac en vélo (sauf les jours de gros mauvais temps), puis en stage, à mon premier travail (9 km toujours), et à mon second emploi, où je suis toujours (11 puis 13 km). C’est un mode de déplacement qui me convient bien, me maintient en forme, me réveille le matin et me permet de décompresser de ma journée le soir.
En cas de gros mauvais temps, je prends le bus qui passe en bas de chez moi et à côté de l’entreprise où je travaille ; et la voiture est un moyen de transport à titre exceptionnel (nécessité de partir en déplacement dans une direction autre que le bureau notamment).

Finalement, le vélo est devenu naturel dans mes déplacements, et je tente même de le privilégier autant que possible. Ce que je déplore, c’est que j’aie du attendre une panne pour remettre en cause la suprématie de la voiture. J’ai du (par ma passivité) attendre d’être « obligé » de prendre mon vélo par un froid matin de février (premier jour, première gamelle sur du verglas…) pour me détacher du véhicule motorisé et de l’apparent confort qu’il représente (un habitacle chauffé en hiver, qui tient au sec quand il pleut…).

Le petit mot de la fin (mais en image, crédits) :
Au final, mon opinion

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Je suis, comme certains le savent, chargé d’affaires photogrammétrie. Dans le cadre de ce travail, je dois faire tourner des modélisations, qui peuvent parfois prendre plus d’une semaine. Pendant tout le temps que la modélisation tourne, il est impossible de sauvegarder : toute extinction du PC signifie la perte du travail en cours.

Imaginez donc mon énervement quand je me suis rendu compte que mon ordi, récemment migré à Windows 10, avait superbement ignoré mes instructions en base de registre (mises en place sous Seven) lui intimant de ne pas redémarrer tant qu’il y a un user connecté, me faisant perdre 3 jours de modélisation… Un redémarrage nocturne, quand je n’ai pas moyen de lui dire de repousser l’échéance.

Plus fort encore, après avoir modifié quelques paramètres sur le redémarrage et relancé la modélisation, j’ai re-perdu une journée de travail suite à un nouveau redémarrage à la sauvage.
J’ai suivi quelques liens pour supprimer totalement les mises à jour auto, je verrai lundi si ça a marché.

C’est pour ça que je préfère les systèmes Unix : l’utilisateur garde le contrôle total sur sa machine, décide de quand installer les mises à jour, et n’a généralement pas besoin de redémarrer derrière.

Dans tous les cas, petit message de service à l’attention de ceux qui ont développé cette infâmie au sein de Micro$oft : Je vous emmerde !

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Les mots sont lachés : l’attentat le plus meurtrier commis sur le sol français ! C’est celui d’hier & aujourd’hui, 13 et 14 novembre 2015. Un bilan provisoire effroyable, une issue toujours incertaine. Mes plus grandes condoléances vont aux victimes et à leurs familles.

Mais… Mais pourquoi tout ça a eu lieu ? Alors que, depuis quelques mois, le gouvernement français s’est doté des moyens légaux et techniques (qu’ils avaient probablement déjà avant) de surveiller tous les Français, dans tout ce qu’ils font, sur Internet ! Fichtre !
Comme toutes les associations de défense des libertés individuelles l’avaient annoncé, cet arsenal ne sert qu’au flicage du Citoyen de base et n’entrave en aucun cas la préparation des actes terroristes. La preuve en ce funeste jour.
Alors, M. Cazeneuve, c’est pour quand qu’on la supprime, cette loi à la con ?

Ce qui me fait peur ? C’est que les apprentis-dictateurs des ministères concernés ne se servent de cet attentat comme argument pour durcir encore la surveillance de masse et les atteintes à la vie privée que subissent les Citoyens, tout ça pour laisser passer les terroristes.
Le combat pour les libertés individuelles continue !

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Tim Cook l’a dit, l’I-pad pro remplacera bientôt le PC. Outre le fait que je doute fortement des possibilités productives sur un bête écran tactile, un « détail » me fait fortement tiquer. Une tablette, c’est presque « par essence » une configuration fixe. Vous achetez une tablette avec 128 Go de SSD, X Go de ram… Et c’est marre, fini, ça n’évolue plus. Pour passer à une config supérieure, il faut racheter une tablette (si tant est qu’un modèle avec plus de puissance soit disponible).
Très bonne opération financière pour Apple, avec une version 32 Go à pratiquement 800 $ et une 128 Go à 1 080 $. Pour le con-sommateur, c’est déjà beaucoup moins rentable. Là où un HDD 1 To peut se trouver à moins de 100 € (et avec cette capacité, pas besoin de disposer d’un monstre d’espace SSD, 64 Go pour le système peuvent amplement suffire pour bien des applications) — et sachant que le changement sur un PC perso est très facile, à fortiori sur un fixe — l’utilisateur va devoir raquer à fond pour pouvoir améliorer un tout petit peu son produit, et jeter l’ancien.
Bien, « l’avenir du PC »… À mon avis, sa prédiction est très loin de se concrétiser.

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Nous sommes souvent amenés à couper des bouts de corde, pour tout un tas de raisons. Une fois coupée aux ciseaux ou avec un couteau, la corde à tendance à s’effilocher au bout.
La technique classique et un brin masochiste pour éviter ça consiste à faire fondre les fils des extrémités coupées à la flamme d’un briquet, puis à appliquer ses doigts préalablement humectés sur le polymère en fusion pour créer un truc qui tient à peu près.
Cette technique à l’avantage de fonctionner dans de nombreuses situations.
Lorsque l’on en a la possibilité, il existe cependant une technique plus efficace, et moins ruineuse que l’achat d’un coupe-corde.

Tout montagnard (ou presque) a dans ses affaires un réchaud. Un cutter ? Ça se trouve facilement. Bref, on peut faire avec de la récup.
Réunissez-donc le matériel nécessaire : un cutter, un réchaud (on vient d’en parler au-dessus), de la corde (évidemment !), une feuille d’alu (pas indispensable, mais permet de travailler proprement)
Mettez une vieille lame sur le cutter. Cette technique, nécessitant le passage de la lame au feu, ruinera son tranchant. Si vous n’avez pas de cutter, n’utilisez donc pas votre super couteau à la place, mais prenez une bonne daube à bout rond : ce n’est pas le tranchant de la lame en tant que tel qui fait effet, mais bien la chaleur.
Pour alimenter votre réchaud, vous pouvez vous servir d’une de ces vieilles cartouches de gaz qui traînent (si votre appareil fonctionne au gaz), plus assez remplies pour les emmener en bivouac. Vous n’avez en effet pas besoin de beaucoup de carburant.

Premièrement, rassemblez vos affaires, montez votre réchaud, allumez-le.

Puis chauffez votre lame de cutter. Pas besoin de trop attendre : quand le bout devient rouge (maximum une dizaine de secondes) c’est largement assez chaud. Pas besoin de chauffer dans une flamme immense : préférez une flamme bleue (réchaud à faible puissance), plus chaude qu’une flamme jaune/rouge.

Appliquez ensuite votre lame chauffée sur votre extrémité de corde (préalablement posée sur la feuille d’aluminium si vous en avez prévu une), et regardez-la se séparer en deux. Il n’est pas utile de donner du mouvement au cutter. Si tout n’a pas été coupé au premier passage, réchauffez un peu votre lame, tournez un peu votre brin de corde, et coupez ce qu’il reste.

Voilà, votre corde est coupée proprement.


Rien de nouveau au travers de cette astuce, mais elle simplifie l’opération lorsque l’on peut l’appliquer, tout en restant largement moins chère qu’un coupe-corde (à moins peut-être que vous n’ayez ni réchaud (ni cuisinière à gaz), ni cutter, ni corde ; auquel cas vous n’avez pas besoin de cet article).

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Supposons que vous vouliez installer Python 2 et 3, ainsi que iPython 2 et 3. Vous pourriez faire un simple
apt-get install python2 python3 ipython2 ipython3
. Oui, mais ceci apporte quatre répétitions de « python ».
Avec un sélecteur multiple, nous pouvons ne l’écrire qu’une seule fois :
apt-get install {i,}python{2,3}
Le principe est assez simple : apt va matcher les chaînes variables à l’intérieur des accolades les unes aux autres en créant toutes les combinaisons possibles.
Dans les premières accolades, je n’ai rien marqué après la virgule. Cela signifie « i ou rien » + python + « 2 ou 3 ».

Ici, nous économisons quelques caractères. Mais quand vous avez le choix entre plusieurs versions d’un logiciel et de ses dépendances optionnelles – et à fortiori quand les numéros de version sont à rallonge – il est plus pratique d’écrire

apt-get install {python-,}qgis{-common}=2.10.1trusty2
que
apt-get install qgis=2.10.1trusty2 qgis-common=2.10.1trusty2…
Avoir à spécifier les numéros de version pour le paquet et ses dépendances est rare, mais cela peut arriver en cas de pinning mal réglé.

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Voilà… Après diverses réflexions, j’ai finalement décidé d’ouvrir un blog annexe à Montagnisme.
Montagnisme est déjà en soi un blog. Mais les fonctionnalités du moteur de blog (Wordpress) sont déjà occupées par la gestion des sorties en montagne, et je ne pouvais donc pas partager d’autres choses sans « diluer » le flux des sorties, l’objet principal du site principal. Je pouvais certes partager du contenu sur mon autre site, mais étant donné son caractère « semi-pro », je ne peux y publier que des informations et nouvelles liées à la technique en matière d’environnement, de logiciels libres ou de développement. Et pas grand chose en rapport avec mes opinions perso, des trucs qui m’amusent, me paraissent bien, sympa...
Alors que maintenant, ça va être très facile ! En plus, ce moteur dispose d’un mode de partage rapide de liens. Autant dire qu’avec le nombre de pages que j’ai souhaité partager, j’ai de quoi vous abreuver en liens pour des semaines !

Pour le moteur de blog, c’est Blogotext, développé par Timo Van Neerden.