Je me marre (jaune)…
Ben oui, ils se sont pris tous les inconvénients 1) des formats privateurs, 2) des logiciels privateurs et 3) des formations à la con en pleine gueule.

Je le dis et je le répète : les macros Office, c’est de la merde. Ça vous lie quasi-indéfiniement à la suite bureautique de micro$oft (à moins de bien vouloir tout re-coder, après avoir appris les subtilités du StarBasic bien sur). Si vous voulez faire un truc durable, codez en Python, en C++, en StarBasic, avec PyUNO (macros Python pour LibreOffice)… Et utilisez des librairies multiplateformes. Ce n’est pas une garantie absolue que tout se passe bien lors d’une migration, mais ce sera toujours moins pire que si votre développement est lié à une plateforme particulière.

Les incompatibilités des fichiers ? Ben oui, micro$oft a bien intérêt à les maintenir. Comme ça, quand vous voulez changer, vous voyez vos belles mises en page toutes cassées et vous dites « Open/LibreOffice, c’est vraiment de la merde, ça m’a tout cassé » et hop, vous ressortez le chéquier !

Le problème de fonctionnalités manquantes ? Je ne l’ai jamais rencontré, et pourtant je fais beaucoup de choses avec LibO. Après, c’est différent de office, donc oui, au départ, faut chercher un peu comment faire.

Quant aux formations, c’est toutes plus ou moins les mêmes : on vous apprend que pour mettre en gras faut cliquer sur tel bouton, point barre. Pis le jour où vous changez de logiciel, ou même simplement d’interface, vous voilà tout perdus parce que l’icône du bouton a changé.
Parlant de formations, le mot de la fin va sur l’accompagnement. Est-ce que ces personnes à qui l’on a fait faire la migration ont été correctement accompagnées ? Ou est-ce qu’elles ont été lâchées dans la nature, « démerde-toi et ton PC se foutra de ta gueule ». Car oui, il est difficile de passer à un autre soft après des années à utiliser le même (surtout que ce « même » a généralement été identique depuis le premier contact avec un ordinateur), et il faut savoir accompagner les utilisateurs.