Chalets du Sollier depuis Mont-Devant (again)

Petite sortie d’après-boulot, avec montée au coucher du soleil — masqué par les nuages — et descente à la frontale.
La neige est gelée par endroits, bien dure à d’autres. Pas de grand ski dans une poudre de rêve donc, mais une sortie agréable et relaxante.

Départ du parking à 17h, chalets à 18h10, retour au parking à 19h20

Chalets du Sollier depuis Bellecombe-en-Bauges

Départ à 10h30 pour une petite sortie à skis. La destination a fait débat la veille, mais c’est l’option « Roc des Bœufs » qui l’a emporté. Enfin, qui l’avait emporté, jusqu’à ce que nous voyons le haut de la combe et le sommet dans les nuages. Guère réjouissant… Nous partons malgré tout, avec un objectif plus modeste en termes de dénivelé : les chalets du Sollier.

Sente de montée

La montée est relativement tranquille sur la piste forestière. Cette fois-ci, pas de sortie-sanglier, ni de tentative sur trois pauvres centimètres qui masquent à peine les cailloux. La neige, quoique peut épaisse, donne l’impression de pouvoir skier sans soucis.

En approchant des chalets, le vent forcit. Nous décidons donc de rebrousser chemin vers 1 400 m, au sommet d’un champ idéal pour entamer la descente. Nous reprenons, au bas de ce champ, la piste forestière, où nous croisons de nombreux skirandonneurs et raquettistes qui montent en plein soleil (mais qui se dirigent malgré tout vers la grisaille, nyark !).

Refuge de Morbier depuis le Penon

Départ skis aux pieds du parking, direction le refuge de Morbier, en empruntant la route du Lindar (RD32A).
Comme c’est assez monotone et assez long, nous décidons de couper à travers la forêt au niveau du chalet forestier (1050 m), pour atterrir directement sur le tronçon supérieur. Nous étions pour cela censés suivre un sentier. Raté !

Nous arrivons quand-même sur la branche supérieure de la route, et poursuivons jusqu’au chalet. Pause-repas, puis nous entamons la descente à skis. Après environ cent mètres, nous déchaussons et entamons la phase de portage. En forêt, il n’y a pas assez de neige et nous touchons régulièrement.

À la faveur d’un champ, nous apercevons un sanglier qui remonte dans notre direction. Il ne nous voit pas, absorbé dans sa recherche de nourriture. Au bout d’un moment, il nous remarque et s’en va. Nous décidons de descendre par le champ. Cette portion, bien que courte, aura sauvé la descente. Nous arrivons à quelques encablures de notre point de départ.