Sortie via à l’initiative d’Olivier, sous un soleil et des températures estivales.
La via est sympa, assez simple sur la première portion, et aérienne en seconde partie (traversées gazeuses, surplombs…).
Un site qui parle de montagne…
Sortie via à l’initiative d’Olivier, sous un soleil et des températures estivales.
La via est sympa, assez simple sur la première portion, et aérienne en seconde partie (traversées gazeuses, surplombs…).
« Non, on va quand-même pas suivre la route, on va se faire chier. Tiens, regarde la carte, si on suit cette piste, on peut reprendre un chemin au niveau de la cabane forestière, et on arrive frais comme des gardons sur la piste qui nous intéresse ! »
Bref, j’ai eu une mauvaise idée…
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Sortie d’après travail, sur un itinéraire qui me faisait envie depuis quelques temps. La crête est sympathique, forestière et plate en partie basse, puis devenant un peu plus dégagée et effilée sur les hauteurs.
La descente s’effectue à la frontale par les pistes du Revard.
La sortie est sur C2C, avec une trace GPS et des photos.
Petite sortie d’après-boulot, avec montée au coucher du soleil — masqué par les nuages — et descente à la frontale.
La neige est gelée par endroits, bien dure à d’autres. Pas de grand ski dans une poudre de rêve donc, mais une sortie agréable et relaxante.
Départ du parking à 17h, chalets à 18h10, retour au parking à 19h20
Départ à 10h30 pour une petite sortie à skis. La destination a fait débat la veille, mais c’est l’option « Roc des Bœufs » qui l’a emporté. Enfin, qui l’avait emporté, jusqu’à ce que nous voyons le haut de la combe et le sommet dans les nuages. Guère réjouissant… Nous partons malgré tout, avec un objectif plus modeste en termes de dénivelé : les chalets du Sollier.
La montée est relativement tranquille sur la piste forestière. Cette fois-ci, pas de sortie-sanglier, ni de tentative sur trois pauvres centimètres qui masquent à peine les cailloux. La neige, quoique peut épaisse, donne l’impression de pouvoir skier sans soucis.
En approchant des chalets, le vent forcit. Nous décidons donc de rebrousser chemin vers 1 400 m, au sommet d’un champ idéal pour entamer la descente. Nous reprenons, au bas de ce champ, la piste forestière, où nous croisons de nombreux skirandonneurs et raquettistes qui montent en plein soleil (mais qui se dirigent malgré tout vers la grisaille, nyark !).